Les Rouges Azur.

Publié le par Vincent Ferdieu



      J
e vais durant tout le courant de cette semaine vous présenter les differentes motion de l'ARCEN, qui ont été évoquées dans l'article présentant mon parti.
 Les motions sont des groupement au sein du parti, de personnes ayant les mêmes idées pour l'avenir du parti, en vue d'en prendre le contrôle ou de les transmettre au sommet.

Elles sont actuellement au nombre de 5 dans l'ARCEN.




III°) Les Rouges-Azur
Courant existant depuis 1082

      Les Rouges-Azur possèdent le statut particulier d'avoir existé longtemps avant l'ARCEN et de ne s'être intégrés que sur le tard au nouveau parti créé par Vincent Ferdieu. Les membres du courant sont donc majoritairement des anciens, des "vieux de la vieille", les "nouveaux ancêtres" selon l'expression même de Jean-Fernand Le Hideux parodiant le nom de la motion de Vincent Ferdieu. La principale différence entre les Nouveaux Antiques et les Rouges-Azur, c'est que ces derniers se définissent bien plus de manière politique qu'artistique. Leur grande idée est le royalisme républicain. Le peuple élirait de manière parfaitement démocratique via des élections libres un souverain, qui userait ensuite du pouvoir absolu de manière complète jusqu'à la fin de sa vie. Les Rouges-Azur ont la réputation d'être âgés, il faut reconnaître qu'ils ne l'usurpent pas: Jean-Fernand Le Hideux a ainsi 97 ans, tandis que Cindy Al-Sayed a fêté l'an dernier ses 86 ans. Néanmoins, ils sont également les plus grands fêtards du parti, en particulier Jean-Fernand Le Hideux, amateur des boîtes de nuit parisiennes, et surtout leader du courant politique depuis sa création ou presque.

      Le symbole des Rouges Azur n'est pas comme le croient souvent les novices un écu tout rouge, mais bel et bien une fleur de lis rouge avec un sceptre rouge, une couronne rouge, et un saucisson rouge, le tout sur fond rouge. A noter que la fleur des lis des Rouges-Azur figure sur le logo de l'ARCEN.



Principaux représentants du courant:

Jean-Fernand Le Hideux


      Jean-Fernand Le Hideux est né en 1912. Personnage haut en couleur, il connut la malchance d'être à cheval sur deux siècles sans que ce soit exceptionnel. Il a donc connu les deux guerres mondiales auquel a pris part, mais aussi la Guerre du Viêt-Nam et la guerre en Irak (la deuxième bien entendu) ou à chaque fois, il a été le seul soldat français envoyé, preuve de sa grande force.
     
      Malgré son arthrite chronique, ses rhumatismes, et son ulcère à l'estomac, loin d'être mort, Jean-Fernand est même la définition du bon vivant. Coureur de jupons, on lui accorde les conquêtes de Catherine Deneuve, Marylin Monroe (deux fois par erreur, sauf la première et la seconde), Lorie, Paris Hilton, mais aussi Anne d'Autriche, Cléopâtre, et Jeanne Calment, juste avant que celle-ci ne décède. Il alterne ses plaisirs entre la collection de boîtes d'allumettes (pour quel usage, je vous le demande) et de boîtes de nuit, dans lequel il est souvent le dernier à s'en aller. Il est également chroniquer régulié et apprécié des émissions de télévisées, passant souvent chez les Grosses Têtes, et au 6-9 de NRJ. Fort d'une très longue expérience de la politique (il a été adjoint au Sénat du rapporteur général des lois concernant les préconisations en matière de dentition pulmonaire sous la IIIe République, puis sous la IVe, détaché auprès du sénateur Pierre Le Moignan, dont la principale (et seule) activité était de s'occuper plus spécialement des lois concernant l'Internet, ce qui à l'époque lui donnait peu de travail, avant de travailler sous la Ve République avec le sénateur chargé des relations internationales entre la France et le Swaziland.), Jean-Fernand Le Hideux fut finalement convaincu par le projet de l'ARCEN, et s'y inscrit avec l'ensemble des membres de son groupe de réflexion, les Rouges Azur.

Cindy Al-Sayed


      Née dans un avion entre Paris et Marseille d'un père viêt-namien et d'une mère mauritanienne, Cindy Al-Sayed vécut toute son enfance entre New York, Brasilia et Moscou au gré des voyages de ses parents. A la mort de ceux-ci sur le Titanic, elle partit vivre chez sa tante aborigène à Sydney.

      En 1934, elle épouse un jeune Hongrois, et le couple décide de s'installer en Antarctique pour éviter le trouble des deux guerres mondiales. Ils eurent à ce moment là deux enfants, Rüdiger et Nimisaoka. Son mari fut maheureusement pris en 1952 dans un piège à ours blanc qu'il avait lui même conçu et fut pris dans iceberg où il resta gelé. Aussi, lorsque Cindy lui annonça qu'elle le quittait, il resta de glace. Lassée de la vie à l'étranger, comme elle l'expliqua plus tard dans son autobiographie "Habla several Sprache, xye xye maman eto puneski", elle tira "au sort parmi ses vingt-deux passeport" sa future destination. Le hasard fit bien les choses, et Cindy arriva à Paris, s'installant boulevard Saint-Germain. Elle trouva rapidement un emploi en tant que traductrice au siège de l'UNESCO. C'est elle aujourd'hui encore qui rédige l'ensemble des rapports dans toutes les langues du monde, "un travail harassant puisqu'elle a du apprendre deux langues pour obtenir ce métier, dont celle du Directeur des Ressources Humaines". Durant une sortie en boîte de nuit, elle rencontre Jean-Fernand Le Hideux, qui lui expose ses points de vue politique. Convaincue, elle adhère alors aux Rouges Azur, et ne quitte pas le courant quand celui-ci rejoint finalement l'ARCEN selon les désirs de son chef. Elle est à l'origine de "l'européanisme nationaliste" prôné par l'ARCEN, preuve encore de l'importance des Rouges Azur au sein du parti.

Publié dans ARCEN

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